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chanson française - Page 13

  • Blaubird, en noir et blanc

    Tour d’abord, c’est sa voix qui frappe. Rien d’étonnant : BlauBird – Laure Slabiak – est une chanteuse, auteure, compositrice et interprète issue du classique et du lyrique.

    Cela donne une voix lumineuse servant un très beau titre, "L’ombre de mon amant".En attendant son album, voici donc ce premier single et un clip au noir et blanc envoûtant réalisé par Patrick Swirc.

    "L’ombre de mon amant" est un chant d’amour et d’adieu onirique et symboliste, servi par le violon d’Oliver Slabiak OS69, fondateur du groupe Les Yeux Noirs) et l’Orchestre Fame’s Project (Skopje, Macédoine). 

    BlauBird, L'ombre de mon amant, 2022
    https://www.facebook.com/blaubirdmusic

    Voir aussi : "Adé, l’ex de Therapie TAXI, bien partie pour rester"

    Photo : © Patrick Swirc

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  • Ça biche

    Dans une pop bricolée avec bonheur, La Biche fait de son dernier single "Mister" une vraie jolie curiosité. Artiste complète, danseuse, chorégraphe, mannequin et ici musicienne, compositrice et chanteuse, Laetitia Dremeau (c’est son vrai nom) s’est entourée pour ce premier opus électro-pop de Julien Chirol pour l’arrangement et Pierre Luzy pour le mixage-mastering.

    "Mister" est une vraie et belle déclaration. Sur les lèvres de La Biche, l’attraction amoureuse se fait jeu sensuel, plaisir et lâcher prise, mais où l’aliénation n’est pas loin. La chanteuse choisit une langue travaillée, avec une large place aux allitérations : "Il est l’homme comme un tic qui tacle mon cœur / L’enfant homme, le chic, le choc, aïe, mon cœur / Il est comme la rythmique qui racle mon cœur / Comme une pomme, il le brique, il le croque, il pleure". L’influence de Serge Gainsbourg n’est pas loin. En parlant de "l’homme à la tête de chou", impossible de ne pas parler du timbre voilé de La Biche, souvent dans le murmure sensuel et susurrant les mots comme le ferait Charlotte Gainsbourg. 

    L’influence des vidéo-clips des années 80 est évidente

    Sur un clip de Gianluca Bugel, Mister se veut hypnotique, onirique, sensuel et dont l’influence des vidéo-clips des années 80 est évidente, y compris dans l’optimisme de ce message amoureux : "Mon sieur je panique ma pratique avoir peur / C’est le bonheur qui me pique et c’est pratique la peur / La mécanique à toute heure, le gimmick, la bonne sœur / Identique en pudeur, tu répliques, tu t’appliques en sueur / En couleurs".

    La Biche déploie dans le clip tous ses talents de chorégraphe et de danseuse, comme elle l’assume : "La physicalité c’est comme ça que je perçois le monde, tout ce que je ressens est physique et texturé, comme une musique. Plus mon corps est libre, plus ma tête l’est, et inversement !"

    Du bel ouvrage visuel et sonore par une artiste qui a déjà installé tout son univers.

    La Biche, Mister, 2022
    https://www.facebook.com/thisislabiche
    https://www.instagram.com/labicheofficiel

    Voir aussi : "Entre 007 et Le Jeu de la Dame"

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  • Andréa Ponti : "Aujourd’hui, nos retrouvailles sont une évidence"

    Andréa Ponti, il en avait été question dernièrement. La chanteuse sort un nouveau single en ce moment, "La musique et moi". Un morceau en forme de confession en même temps qu'il est une déclaration d'amour. Le parcours d'Andréa Ponti a suivi des chemins détournés, raison pour laquelle nous voulions en savoir plus. Elle a bien voulu répondre à nos questions.

    Bla Bla Blog – Bonjour Andréa. Vous proposez votre nouveau single, « La musique et moi ». Et justement, la musique et vous est une histoire assez mouvementée, comme si vous aviez joué au jeu du chat et de la souris pendant longtemps avant de vous retrouver. Est-ce que je résume bien  la situation ? 
    Andréa Ponti – J’ai deux types de rapport à la musique, celle que j’écoute et celle que je chante. La première est et à été présente sans discontinuer. Et pour la deuxième, vous avez raison, j’ai chanté à différentes périodes de ma vie et  c’est justement à cela, ce retour incessant à elle, que j’ai reconnu finalement que c’était ce pourquoi j’étais faite, mon Ikigai comme le nomme les japonais. Aujourd’hui, nos retrouvailles sont une évidence, comme une belle histoire d’amour qui finit bien. D’où ma célébration dans ce dernier titre "La musique et moi".

    BBB – Quels sont vos premières influences ? Les eighties, semble-t-il, mais aussi la pop et la chanson française ?
    AP – Oui j’ai eu la chance de baigner dans cet âge d’or de la musique des eighties vers laquelle on revient abondamment aujourd’hui. J’adorais écouter d’abord Michael Jackson, Sting, Queen, Toto. Plus tard James Ingram, Brian McKnight, Boyz II Men. Chez les chanteuses américaines Toni Braxton, Jessica Simpson, Brandy, Aaliyah, Tina Arena … Mais c’est surtout Céline Dion et Mariah Carey qui me faisaient vraiment rêver adolescente ! Dans la chanson française en plus de Celine, il y avait Starmania, Goldman… Aujourd’hui mes influences sont Julia Michaels, Adèle, Faouzia, Aguilera, Pink, Sia, Ariana Grande…

    BBB – Pouvez-vous nous parler de ceux qui vous accompagnent ? Le nom de François Welgryn est souvent revenu. 
    AP – J’ai eu la chance effectivement de rencontrer François Welgryn (parolier d’Amir, Kenji, Amel Bent, Johnny Hallyday) qui a trouvé mon histoire intéressante. Il a écrit mes chansons originales en retranscrivant très fidèlement mon propos et mes émotions. Il m’a présenté William Rousseau (Anggun Florent Pagny, Tina Arena). lequel a composé la musique de mes trois titres. L’entente artistique entre nous est parfaite. Ils sont à mes côtés depuis le début de l’aventure, me guident, conseillent soutiennent et c’est vraiment très précieux pour moi.

    "Ta deuxième vie commence quand tu réalises que tu n’en as qu’une"… C’est vraiment ça !

    BBB – Votre dernier single, "La musique et moi" est une vraie déclaration d’amour à la musique. Est-ce plus l’artiste compositrice qui s’exprime ou bien la passionnée de musique qui a, un temps, choisi une autre voie que celle la chanson ? 
    AP – C’est majoritairement l’amoureuse de musique de toujours qui s’exprime mais aussi la nouvelle autrice que je deviens puisque pour la première fois avec cette chanson j’ai participé à l’écriture.

    BBB – Vous racontez que le confinement pendant la crise sanitaire vous a autant désemparé qu’elle a pu être une chance d’ouverture vers la musique grâce aux réseaux sociaux. Pouvez-vous nous raconter plus précisément quel a été le déclic ? 
    AP – Nous avons vraiment vécu une grande épreuve collective à ce moment. Tous cloîtrés chez nous, coupés de la société. Pour pallier au manque de liens humains, j’ai ressenti le besoin de chanter, et j’ai partagé mes reprises sur les réseaux sociaux. Les retours ont été si chaleureux… l’une d’entre elle est devenu virale, j’ai même été  contactée par un producteur ainsi qu’un manager. Entendre parler de mort sans cesse m’a fait réaliser que la vie était courte et que ces confinements pouvaient être une pause féconde, une occasion précieuse d’investir notre énergie dans notre intériorité, de faire un bilan introspectif. Il était devenu urgent et précieux d’aller à l’essentiel. Ce cheminement intérieur a abouti sur la conclusion que j’avais mis en sourdine trop longtemps mon désir de chanter, j’ai analysé et réglé mes freins intérieurs pour décider de me jeter à l’eau , sortir de ma zone de confort et agir ! "Ta deuxième vie commence quand tu réalises que tu n’en as qu’une"… C’est vraiment ça !

    BBB – Quelles sont les prochaines étapes ? Un album ? Des concerts ? 
    AP – Maintenant que j’ai sorti trois singles, de nombreuses reprises, crée ma chaîne YouTube, développé mes réseaux, ainsi que  ma communauté, mon projet prend de la consistance ; la question d’approcher une maison de disque est peut-être la prochaine étape afin de pouvoir aborder le projet sous un nouvel angle, celui en l’occurrence de la scène, ce que je souhaite et de prochains albums.

    BBB – Merci, Andréa.
    AP – Merci à vous ! 

    Andréa Ponti, La musique et moi, 2022
    https://www.facebook.com/andreaponti.off
    https://youtu.be/JAmvhNrZvqw

    Voir aussi : "Andréa Ponti et sa musique"
    "La vie commence à 40 ans"

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  • La fête, les amis et la musique, Sans Prétention

    C’est sans prétention que le groupe sarthois, forts de plus de trois millions de vue pour leur premier clip éponyme, dévoile Le vent des jours heureux, un album tout entier consacré à la fête, aux amis et aux plaisirs simples. Surfant sur la vague des Trois Cafés Gourmands, les six amis, amateurs, passionnés et déterminés, se proclament, non sans humour, "rois de la chanson", tout garagiste, VRP, ingénieur ou carreleur qu’ils sont.

    Leur truc à eux, c’est une musique sans chichis mais avec flonflons, avec accordéon, ("Un violon, un  jambon"), banjo, guitares et même fanfare ("On est fous, on s’en fout, en fanfare").

    On ne taxera pas le groupe Sans Prétention d’être révolutionnaire. Par contre, ils savent être efficaces et généreux, à l’image de "Ma blonde", un morceau enlevé qui est une déclaration enflammée pour la blonde préférée des comptoirs : "Mon eau de vie / Ma demoiselle".

    "Le vent" se veut, quant à lui, un appel à l’optimisme et au "vent des jours heureux" qui donne le titre à l’opus, avec un son rock et world music qui n’est pas sans penser aux sonorités du classique de Paul Simon, Graceland.  

    Avouons à ce moment de la chronique que le portrait d’"Adeline" donne vraiment envie de rencontrer celle qui fait les honneurs de ce charmant titre : " Quand Adeline fait son entrée même la trotteuse peut s’arrêter / L’assemblée reste bouche bée mais Adeline n’est pas troublée /  Toujours droite dans ses bottines imperturbable Adeline / Elle a les yeux d’opaline à faire pâlir... les magazines".

    La nostalgie – mais une nostalgie joyeuse – est au cœur de cet opus qui ne se prend pas au sérieux

    La nostalgie – mais une nostalgie joyeuse – est au cœur de cet opus qui ne se prend pas au sérieux, à l’instar de "Festivalier", souvenirs de concerts estivaux. Gageons que cette chanson, sur un rythme de ska, pourrait être un hymne aux Hellfest, Eurockéennes et autres Vieilles Charrues.  

    Pour le morceau "Et si", les Sans Prétention se font plus mélancoliques. Ils parlent de désaccords, de mains tendues et du désir de vivre ensemble :  "Et si, on se rassemble, on ira tout en haut là-bas / Et si on se rassemble on touchera le ciel du bout des doigts". Le groupe ajoute : "Les divergences et les colères sont éphémères. Nos vies n’ont pas besoin de ça". Une autre ballade retient notre attention : "Nos rêves endormis", avec ces promesses pour l’avenir et l’envie de "croire à nos rêves endormis".

    Croqueurs des petites joies ordinaires, à l’instar des "Sportifs du dimanche", des apéros entre amis et des retrouvailles même éphémères ("Alors valsons"), Sans Prétention, avec Le vent des jours heureux, sait nous emporter avec un solide sens d’humour, à l’instar du titre qui clôt l’album : "Un violon, un jambon".

    Sans Prétention Le vent des jours heureux, Bio Label 2021 & TMS Productions
    https://www.facebook.com/Sans-Pretention
    https://www.instagram.com/sanspretention_officiel
    https://lnk.to/SansPretention_LeVentDesJoursHeureux

    Voir aussi : "Sans prétention, le vrai sens du spectacle"

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  • Adé, l’ex de Therapie TAXI, bien partie pour rester

    C’est l’énorme coup de cœur de cet été ! Celui qui vous fait complètement chavirer et qui vous envoie aussi une énorme frustration : celle de devoir attendre un album, qui viendra inévitablement.

    En un seul single, "Si tu partais", Adé montre qu’elle n’est plus seulement la co-leadeuse et chanteuse envoûtante de Therapie TAXI ("Coma idyllique", "Hit sale", "PVP"), le groupe de pop-rock le plus passionnant et le plus détonnant de ces dernières années.

    La séparation du groupe avait désespéré ses fans, et à juste titre. En promettant de revenir en solo, Adé, Adélaïde Chabannes de Balsac dans l’état-civil, n’a pas menti : elle propose, quelques mois après la séparation, son premier single, "Tu partais ». 

    Adé abandonne un moment son côté "bad girl

    L’ex-chanteuse de Therapie TAXI met de côté le son rock et les paroles parfois provocatrices au profit d’un titre pop aux influences country. Le sujet ? L’amour, le manque et la peur d’être quittée : "Mais si tu partais maintenant / Je te rappellerais de temps en temps / Mais si tu partais maintenant / Tu saurais jamais ce que je ressens / Mais je sais / Que tu savais déjà que tu m'en voudrais".

    Adé abandonne un moment son côté "bad girl" pour une délicate chanson qui rentre dans la tête et n’en finit pas de sortir. Et ça, c’est bon. "Si tu partais maintenant / Sans un mot brusquement / Et moi j'ai mal partout / J'avoue".

    Irrésistible. Vivement la suite et l'album.

    Adé, Si tu partais, 2022
    https://www.facebook.com/adechabb
    https://www.instagram.com/adechabb

    Voir aussi : "Rien à jeter"

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  • Un premier pour la route

    Si l’on s’arrêtait dans un de ces nombreux bistrots, avec un groupe de potes venus raconter quelques histoires ? Telle est la promesse d'Au comptoir des histoires, une bande de six ami·e·s savoyard·e·s proposant avec leur premier album, Trêve de comptoir, quelques tranches de vie à croquer simplement, comme une gouleyante bière fraîche à consommer avec modération.

    Si l’on peut coller un lieu ou un endroit à cet opus, c’est bien celui du bistrot, lieu a priori familier de Au comptoir des histoires.  Le titre qui ouvre l’opus, "Le tavernier", illustre l’univers du groupe : on entre dans un bar minable, une mauvaise affaire, mais aussi un lieu plein de vie dans lequel "solidarité" rime avec "convivialité", et moins avec "sobriété" : "Un genre de repère, pour venir  consommer / Consommer pour venir consoler ses frères".

    Delphine Larpin, Albin Ficagna, Etienne Cheilan, Abdelkader Bouhassoune, Steve Jon et Marlon Nemoz, aux manettes de Trêve de comptoir, proposent une série de confidences, de souvenirs et de récits à se raconter entre potes, à l’image du morceau phare "Au comptoir des histoires".

    Il semble que tout soit prétexte à faire la fête et chanter, y compris lorsqu’il est question de solitude ("Solitude") de mort (la valse mélancolique "Au gré du vent"), de la dèche ("Restes du cœur"), de l’écologie ("Substance") ou de la bêtise humaine ("Hymne aux cons").

    Voilà qui fait de cet album un vrai exemple de sociologie

    Sans complexe et avec simplicité, les cinq amis d'Au comptoir des histoires savent chanter la fête, les amis et l’amour, bien sûr ("Toute belle").  Ils mettent tout autant en musique l’enfance, les mauvais souvenirs de l’école, le temps qui passe et le plaisir des jeux de gamins ("Nos rêves de gosses").

    La chanson française du groupe savoyard, qui commence à sillonner son pays, la France et la Navarre à un rythme soutenu pour fouler les planches des scènes locales, festivals, tremplins et autres premières parties, se pare d’influences du côté du jazz manouche ("La solitude"), de rythmes antillais ("Les assoiffés"), non sans un  passage par Bobby Lapointe ("Désosser Annie") ou de Georges Brassens ("Hymne aux cons").

    Voilà qui fait de cet album un vrai exemple de sociologie : la Province française des années 2020, celle des campagnes désœuvrées, des bistrots modestes et des gens simples abandonnés, le tout enveloppé dans une album jazzy produit avec soin et à écouter le soir, l’été, en plein air, avec celles et ceux que l’on aime. Et si vous tombez sur une date de ces six amis, n’hésitez pas : allez les voir et les écouter. 

    Au comptoir des histoires, Trêve de comptoir, Bel, 2022
    https://www.facebook.com/ACDH74
    https://www.instagram.com/aucomptoirdeshistoire/%20

    Voir aussi : "Chef, un petit verre"

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  • Andréa Ponti et sa musique

    C’est une love story que propose Andréa Ponti, de retour avec "La musique et moi".

    Après "Il était temps", un premier single qui marquait la naissance d’une artiste autant que d’une reconversion et d’une aventure palpitante, Andréa Ponti confie sa passion pour la musique…

    La chanson est un thème souvent traité dans la chanson française. Ici, c’est une authentique déclaration d’amour pour celle qu’elle nomme "une grande sœur / Un ange gardien… / Un refuge".

    Dans une facture pop, grâce à une voix chaude impeccable, Andréa Ponti dévoile ce qu’a pu lui apporter la musique : "Je vole à ses voyages / Et ses ciels au-delà / A ses pulsions sauvages, les miroirs de tous mes états".

    Cette nouvelle voix de la chanson française est à suivre, sans faille.

    Andréa Ponti, La musique et moi, 2022
    https://www.facebook.com/andreaponti.off
    https://youtu.be/JAmvhNrZvqw

    Voir aussi : "La vie commence à 40 ans"

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  • Rien à jeter

    Il y a du Bobby Lapointe autant que du Philippe Katerine dans l’étrange duo Appelez-moi François.

    Le groupe a choisi un son easylistening, avec boite à rythme, synthé et… flûte à bec, pour leur premier single faussement naïf, "On ne choisit pas".

    Avant eux, Emily Loizeau avouait son désarroi de ne pas choisir. Ici, Appelez-moi François parlent de ces "tas de bidules" qui encombrent nos vies et nos appartements.

    Dénonciation de notre société de consommation, listes à la Prévert ou souvenirs intimes dont on ne veut pas se séparer ? Un peu de tout ça à la fois sans doute : "J'ai même un minitel / Souvenir de Christel / Un cabas Prisunic / Héritage de Monique / Des pots confitures / Pour garder la poussière / Des petites voitures / Souvenir de grand-père".

    En attendant de philosopher sur cette fantaisie mi-potache mi-poétique, découvrons donc Appelez-moi François dans leur délicieux morceau à la fois cheap et kitch : "On ne choisit pas / Ce que la vie vous amène / Dans tout ce fatras / Personnellement, je m'y perds moi-même".

    Appelez-Moi François, On ne choisit pas, 2022
    https://appelezmoifrancois.com
    https://www.instagram.com/appelezmoifrancois

    Voir aussi : "Super Bonhommes"

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